ces images font partie de la campagne publicitaire de TOM
FORD qui est une compagie de parfums pour hommes. Dans cette publicite on voit que les quatre images sont
totalement explicites et la femme semble faire partie de l’objet (que dans ce
cas est une bouteille de parfum) par la facon dans la quelle elle est integre dans
les images. Il me semble vraiment inaicessaire l’utilisation d’images comme
celles ci pour atirer l’atencion ou vendre. Comme le titre ici donne le dit
c’est une publicite totalement sexiste et qui comme je l’ai deja dit utilise a
la femme comme un simple objet publicitaire
Les deux faces de la publicité
Ce blog nous permet non seulement de montrer des exemples de publicités mais aussi de donner notre opinion et de permettre aux autres de donner leurs opinions. Notre blogs nous permet de faire les gens prendre conscience sur un sujet que probablement ils n'avaient pas conscientiser au part avant et cela nous permet d'attirer l'attention sur ce problème. Cependant c'est un travail progressif qui montre de nombreux exemples au cours du temps
Wednesday, 19 March 2014
Tuesday, 18 March 2014
idee de beauté par Florence Thomas et opinion personnel
'Belleza: ¿cuál belleza?', por Florence Thomas.
Las mujeres bellas son para los hombres sin imaginación
Marcel Proust
Tengo 70 años. Y como lo saben ustedes, soy una mujer feminista llena de arrugas en la cara. Una mujer convencida, además, y desde hace años, de que tiene la cara que merece, la cara de su edad. Confieso también que cada una de mis arrugas hace parte de mi hoja de vida, no tanto profesional sino existencial, es decir, una hoja de la vida.
Y para hablar de la belleza, me referiré a ella como una verdadera dictadura que nos obliga de manera muy sutil a responder a una lógica mercantil. Esta nos impone modelos y nos exige cambios relativamente veloces pero siempre construidos para la mirada del otro masculino y los requerimientos de una economía que supo tan acertadamente recoger la mercantilización de los cuerpos. Una dictadura que nos impone un cuerpo y una manera de existir en el espacio social que termina por generar una enorme ansiedad en relación con la mirada, y muy particularmente para todas estas mujeres que no cumplen los requisitos de belleza del momento para resistir semejante discriminación. Ayer bustos chiquitos, hoy enormes esferas que ya ni siquiera caben en las manos de los hombres; ayer labios delgados, hoy labios hinchados y sensuales que ya devoran su presa; ayer cejas apenas marcadas, hoy cejas pobladas. Ayer y hoy mujeres manipuladas, cuerpos retocados, adolescentes ansiosas de parecerse a estas mujeres insípidas de los comerciales, adolescentes anoréxicas o bulímicas, mujeres endeudadas por una operación de senos, de nariz, de nalgas, endeudadas por culpa de un cuerpo que no existe en sí, un cuerpo que finalmente no es sino una proyección del deseo y de los fantasmas masculinos.
Liberarnos de la dictadura de la belleza no es tarea fácil, y sin embargo no hay nada más triste que esta dictadura que nos impone una belleza aséptica, homogeneizante, esa belleza de 90-60-90 reforzada cada año por la pesadilla del Reinado de Belleza de Cartagena. Una belleza que logró borrar del panorama las múltiples diversidades en un país tan diverso y multicultural como Colombia.
Recuerdo entonces mi columna de hace un par de años sobre Amparo Grisales a propósito de su nuevo producto de belleza que promocionaba para la eterna juventud y la belleza asegurada. En esta le preguntaba por qué se empeñaba en seguir alimentando imaginarios que, en lugar de hacernos sentir bien con nosotras mismas, nos obligan a estar atentas a la secular mirada masculina y a depender del saber y del deseo del otro fijado en casi todas las expresiones de la cultura. Definitivamente no queremos —es decir, yo no quiero, ni tampoco muchas de mis amigas— vivir en un mundo lleno de rostros fijados en una falsa y tramposa eterna juventud. Rostros sin expresiones, muslos y nalgas sin historias. Y cada vez más, feministas o no, hemos aprendido a aceptar, a asimilar y a asumir nuestra edad, nuestros años, nuestras huellas biográficas que nos permiten leer o adivinar la riqueza de una vida llena.
Y más de una vez me he preguntado por qué los hombres no dicen nada. No puedo creer que este único modelo de mujer estereotipada les guste; no puedo creer que prefieran una muñeca de pocas palabras, perfecta, lisa, de piel satinada, de nalgas perfectas y senos operados, inmensos y llenos de silicona.
Quisiera pedirles a los hombres, a los compañeros de mi generación, que cambien su mirada. Sí, cambien su mirada. Atrévanse a mirar de frente a estas mujeres de 40, de 50, de 60 y, por qué no, de 70 años. Descubran su seducción a pesar de sus arrugas, de sus patas de gallo alrededor de su intensa mirada, de la celulitis que cubre sus muslos pero las hacen, como decía el escritor colombiano Santiago Gamboa, tan humanas, tan reales, verdaderas diosas con sangre humana. Quiero creer que ustedes pueden ayudarnos. Bajen de esa nube y atrévanse a encontrarse con la mirada de mujeres reales, bellas y llenas de experiencias vitales. Qué bellas son, ¡por Dios!, las mujeres de mi generación, sin retoques, pero protagonistas de la revolución más pacífica del mundo; esta revolución que está construyendo verdaderas compañeras de vida para los hombres inteligentes que se atreven a amarlas.
http://www.eltiempo.com/carrusel/ARTICULO-WEB-NEW_NOTA_INTERIOR-12978390.html
Par ma part après avoir été les dix-sept dernières années de ma vie en ignorant complètement certains stéréotypes ou des motifs qui sont invisibles si vous ne faites pas attention à eux mais ils sont toujours présents dans notre vie quotidienne. Elles sont créées et entretenues au fil du temps par notre culture et je pense que Florence Thomas est une femme exemplaire, elle n'a pas peur de rien et elle m’a ouvert les yeux sur ces stéréotypes. Elle est capable de montrer notre société d’une façon dans laquelle ces stéréotypes prennent telle importance qu’elles deviennent un problème de caractère social qui nous montrent la réalité de notre société dans laquelle la femme est montre comme un objet qui est oblige à respecter certains stéréotypes pour s’adapter à notre société puisque si elles ne sont pas respectées le plus est probable qu'il y ait un rejet. Et je soutiens ce qu'elle dit puisque elle encouragée l’idée de voir et à accepter une femme comme elle est. Cela vaudrais dire qu’il y aurait donc pas un modèle ce que vaudrais dire qu’il y aurait pas de rejet de la part de la société en vers les femmes qui suivent pas le stéréotype de la femme '' parfaite '', il ne serait pas donc de s'inquiéter par avoir une figure comme celle dicte la société.Et je pense aussi que laisser de cote cette idée de la femme parfaite permettrait apprécier les femmes telles comme elles sont et non pas par leurs corps. D’autre cote je pense que montrer cette image de la femme crée une non-conformité aux femmes qui ne font pas partie de cette stéréotype de la femme parfaite et pourtant les fait sentir éloignées de ce qu’est considère comme parfait, et moi je pense que elles ne devraient pas ce préoccuper pour essayer de atteindre un objective fictive tel que la perfection physique puisque chaque femme par sa part et parfaite d’une façon unique.
femme comme objet ? est ce ci aceptable ?
Le vidéo ci-dessus montre bien comment la femme est utilisé comme un objet par l’homme, on ne voit même pas les visages des femmes ce qui peut être interpréter et represente la déshumanisation de la femme.
femmes inferieures face aux hommes
5)
Ces images ci-dessus montrent très bien l’idée que la femme est ‘’inferieur’’ a l’homme et aussi qu’elle est soumise et facilement manipulable. Cela on peut très bien le constater dans la première image ou la femme se trouve aux ‘’pieds’’ des hommes. De même façon la connotation sexuelle que prennent les femmes dans les publicités sont très facilement remarquables et avec notre société sexiste on peut voir que la majorité des personnes trouvent ces types de publicité inoffensive et même comique.
femme comme objet
Dans ces trois images ci-dessus ont peut constater très bien comment à travers la publicité la femme prend la forme d’un objet qui existe seulement pour faire plaisir à l’homme et qui est à sa disposition. Et avec cette même idée la connotation d’objet sexuelle et de sexe inferieur est aussi développée par la publicité.
preservatif feminin anti violation
Un condón femenino con 'dientes' busca evitar las
violaciones en Sudáfrica.Una doctora sudafricana inventó un condón
femenino con ganchos que se incrustan en el pene del hombre al momento de una
violación
A travers
cet-article nous pouvons constater que dans certaines régions au monde comme
par exemple en Afrique la femme n’est pas du tout protégée.Mais de même façon
nous voyons que les mêmes femmes comme dans ce cas Sonnett Ehlers sont
entrain de prendre des mesures pour ce protégé. Cet article nous montre très
bien qu’il y a un effort très grand pour protéger la femme et on voit qu’il y a
des résultats positifs avec l’appareil anti-violation crée par Ehlers. Mais je
crois que cela montre un très grand problème dans notre société actuelle. On
voit ici que on crée des appareils pour éviter une possible violation, cela
veut aussi dire que on apprend aux femmes à ce protéger des hommes pour ne pas
être violées au lieu de apprendre aux hommes de ne pas violer ou attaquer les
femmes. Et ce n’est pas un problème exclusif de l’Afrique, on peut très bien le
trouver en Colombie et au reste du monde. C’est à cause de ce ci que je me
demande pourquoi est-ce que c’est comme ça, pourquoi notre société fonctionne
comme ça ? Et ma seule réponse logique est que la société est trop
permissive avec l’homme et le fait sentir qu’il a le droit de faire ce qu’il
veut avec la femme comme si elle était un simple objet et cette idée est
renforcé par la publicité actuelle.
Monday, 3 March 2014
L’effet du sexisme
La publicité sexiste est une des publicités les plus critiqués dans le monde entier. Elle montre les hommes et les femmes comme quelques personnes, ou quelques groupes de personnes, veulent les voir mais ici dans ce cas, le sixisme contre la femme est très critiqué. Les femmes sont utilisés pour des publicités dirigés normalement vers les hommes et font que les femmes se situent dans la place d’un objet comme si elles serait en vente avec l’objet qui est annoncé par la publicité. En Colombie, avec le temps la population est « d’accords » avec cela, mais c’est à cause de l’habitude qui se crée en voyant tout le temps le même type de publicités. Ces publicités sont parallèlement contestés par quelques groupes de personnes que jusqu’à maintenant, n’ont pas arrivés à la fin de la publicité sexiste.
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